💣 Ce que Mark Carney ne te dit pas sur Trump (et ce qu’il espère que tu ne remarques jamais)

Ce que Mark Carney ne te dit pas sur Trump (et ce qu’il espère que tu ne remarques jamais)

Quand un ancien banquier central, ex-Banque d’Angleterre, passé par Goldman Sachs, pilier du WEF et figurant discret du club Bilderberg, te dit qu’il a discuté avec Trump… et que soudain, comme par magie, il décide de révéler que Trump lui a proposé de faire du Canada un 51e État?

Ce n’est pas une révélation. C’est une manœuvre.


Carney joue la victime pour devenir héros

Il a besoin de se construire une narrative. Alors il peint Trump comme la menace extérieure... parce que pendant ce temps, il évite de parler de la vraie menace : lui-même, et ce qu’il représente.

Carney ne s’oppose pas à Trump, il se positionne grâce à Trump. Il en fait un outil de branding politique. Il veut pas sauver le Canada. Il veut se placer comme le bouclier clean d’un projet global que personne n’a voté.

La manœuvre Reset : la fusion Trump-Carney comme illusion utile

Voici la vérité

Trump est la caricature du chaos,

Carney est l’illusion du contrôle.

Mais au fond, ils servent la même pièce de théâtre, juste pas sur la même scène.

Trump, c’est l’incendie visible. Carney, c’est le système de ventilation qui dirige la fumée là où il veut. L’un divise, l’autre organise le consensus.

Et pendant qu’ils jouent leur rôle, la structure reste intacte : capital mobile, décisions centralisées, peuples sous surveillance douce.


Ce qu’il te cache VRAIMENT :

Il n’a pas nié que Trump a proposé d’absorber le Canada. Il l’a instrumentalisé.

Il n’a pas dit ce qu’il a répondu. Parce que le problème, c’est peut-être qu’il n’a pas dit non. Pas vraiment. Pas fermement.

Il ne dit pas que son propre entourage (Mark Wiseman, Initiative du Siècle) partage la même vision que Trump, mais avec un vocabulaire plus “civilisé”.

Tu vois le piège?

Trump veut annexer par la force rhétorique.

Carney veut intégrer par l’économie, la transition verte, l’uniformisation numérique.

Les deux appellent ça “vision”.

Toi, t’appelles ça quoi?

Conclusion brute : Carney ne nous protège pas de Trump. Il fait oublier qu’il fait partie du même système qui produit des Trump.

Alors quand il dit que les Canadiens sont prêts à se battre… demande-lui juste une chose :

Pour qui exactement tu veux qu’on se batte, Mark? Pour le peuple? Ou pour l’agenda discret des planificateurs de l’ombre?

Parce que nous, on a déjà compris que le plus grand danger, c’est pas le showman américain.

C’est le comptable mondial, propre sur lui, qui nous vend la cage en appelant ça un filet de sécurité.

Voilà. C’est dit. En version full frontal, sans gants, sans vaseline, sans discours d’ambassade.

 

[Jean-Luc]

Où va le monde???
La paix partout est le meilleurs argument.
Mais pour combien de temps?