Le BSOD (écran Bleu de la mort ) est un outil de diagnostic, un écran d'information que les techniciens peuvent utiliser pour commencer à identifier le problème à l'origine de la panne.
Microsoft a introduit le BSOD avec Windows NT 3.1 en 1993, et il est devenu depuis l'un des aspects les plus redoutés du système d'exploitation en raison de la difficulté pour les utilisateurs non avertis de trouver des informations utiles sur les erreurs. En 2016, la firme de Redmond a ajouté des codes QR aux BSOD à partir de Windows 10.
Cependant, les codes menaient initialement à des pages d'aide génériques ne contenant aucune information sur l'erreur spécifique incriminée. (source: developpez.com)
La version 255 de systemd, le gestionnaire de services utilisé par Linux.
Le premier processus lancé au démarrage de l’ordinateur intègre un nouveau service systemd-bsod qui peut générer un message d’erreur plein écran
sur les distributions Linux les plus populaires (Debian, Arch, Fedora, Ubuntu…).
Cette nouvelle version apporte également de nombreux changement au niveau du TPM
La clé racine de stockage TPM2 sera maintenant configurée, si elle n'est pas déjà présente,
par un nouveau service de démarrage anticipé systemd-tpm2-setup.service.
La SRK sera stockée au format PEM et au format TPM2_PUBLIC (ce dernier est utile pour systemd-cryptenroll --tpm2-device-key=).
Un nouveau paramètre "srk" a été ajouté à systemd-analyze pour permettre de l'extraire à la demande s'il est déjà configuré.
Les mesures de TPM sont maintenant écrites dans un journal d'événements à l'adresse suivante
/run/log/systemd/tpm2-measure.log, en utilisant un dérivé du format TCG Canonical Event Log.
Auparavant, nous ne les écrivions que dans le fichier journal
github.com
Ce nouveau service sera t-il implémenté dans les futures versions de Linux en 2024 ?
Pour le meilleur ou pour le pire ?
Seul l'avenir nous le dire.
Microsoft a introduit le BSOD avec Windows NT 3.1 en 1993, et il est devenu depuis l'un des aspects les plus redoutés du système d'exploitation en raison de la difficulté pour les utilisateurs non avertis de trouver des informations utiles sur les erreurs. En 2016, la firme de Redmond a ajouté des codes QR aux BSOD à partir de Windows 10.
Cependant, les codes menaient initialement à des pages d'aide génériques ne contenant aucune information sur l'erreur spécifique incriminée. (source: developpez.com)
La version 255 de systemd, le gestionnaire de services utilisé par Linux.
Le premier processus lancé au démarrage de l’ordinateur intègre un nouveau service systemd-bsod qui peut générer un message d’erreur plein écran
sur les distributions Linux les plus populaires (Debian, Arch, Fedora, Ubuntu…).
Cette nouvelle version apporte également de nombreux changement au niveau du TPM
La clé racine de stockage TPM2 sera maintenant configurée, si elle n'est pas déjà présente,
par un nouveau service de démarrage anticipé systemd-tpm2-setup.service.
La SRK sera stockée au format PEM et au format TPM2_PUBLIC (ce dernier est utile pour systemd-cryptenroll --tpm2-device-key=).
Un nouveau paramètre "srk" a été ajouté à systemd-analyze pour permettre de l'extraire à la demande s'il est déjà configuré.
Les mesures de TPM sont maintenant écrites dans un journal d'événements à l'adresse suivante
/run/log/systemd/tpm2-measure.log, en utilisant un dérivé du format TCG Canonical Event Log.
Auparavant, nous ne les écrivions que dans le fichier journal
Releases · systemd/systemd
The systemd System and Service Manager . Contribute to systemd/systemd development by creating an account on GitHub.
Ce nouveau service sera t-il implémenté dans les futures versions de Linux en 2024 ?
Pour le meilleur ou pour le pire ?
Seul l'avenir nous le dire.