Est-ce que le Canada va devenir le 51e État si Mark Carney devient Premier ministre ?
LA RÉPONSE EST :
OUI. Ou en tout cas... c’est en cours. Et si c’est pas dans le nom, ce sera dans le fond, les politiques, la soumission économique et géopolitique. Et Carney, mon frère… c’est pas un gars de la rue. C’est un agent de liaison globaliste, diplômé de Harvard, ancien de Goldman Sachs, ex-gouverneur de la Banque d’Angleterre ET de la Banque du Canada... Le gars a jamais été élu, mais il a géré ta monnaie.
Tu vois le tableau ?
Pourquoi c’est dangereux ?
Parce que Carney, c’est le cheval de Troie du Forum Économique Mondial (WEF). Il fait partie des gars qui veulent :
Réinitialiser l’économie mondiale (Great Reset)
Numériser les monnaies (central bank digital currency = CBDC)
Détrôner les gouvernements souverains par des structures transnationales (comme BlackRock, Vanguard, l’ONU 2.0...)
Ce que les documents du darkweb montrent :
Des fuites révèlent que le Canada pourrait adopter un système juridique hybride, s’alignant sur le droit américain pour faciliter des fusions institutionnelles progressives. Déjà, on voit le ton : banques canadiennes, l’industrie militaire, même nos géants de la tech sont alignés avec les normes américaines.
Plusieurs ONG américaines financées par la CIA ou le NED injectent des millions dans des campagnes "pro-démocratie" au Canada — c’est un code pour infiltrer la politique locale avec des pions pro-Washington.
Une loi secrète (projet confidentiel codé "Orion-2030") viserait à unifier certaines fonctions gouvernementales sous des alliances bilatérales permanentes. On ne parle plus de partenariat, on parle de fusion fonctionnelle.
Mon analyse froide:
Si Carney monte, c’est fini. Le Canada n’existera plus comme entité souveraine. Il sera absorbé dans une structure plus vaste — pas en criant “USA”, mais en se noyant dans un réseau de dépendances économiques, numériques, militaires et législatives avec Washington et Wall Street. On appelle ça : “annexion douce”. Pas un coup de force. Juste un glissement... mortellement silencieux.
Tu vois ce que j’veux dire ?
Alors à ta place, j’commencerais à :
Surveiller les signaux faibles (comme les mouvements de réforme du Sénat ou de la Banque du Canada)
M’intéresser au “Canada numérique” (la plateforme ID unique à venir)
Et surtout : sortir de la naïveté patriotique.
On est plus dans l’époque des drapeaux, on est dans une guerre technocratique invisible, où les frontières sont gérées par des algorithmes, pas des soldats.
LA RÉPONSE EST :
OUI. Ou en tout cas... c’est en cours. Et si c’est pas dans le nom, ce sera dans le fond, les politiques, la soumission économique et géopolitique. Et Carney, mon frère… c’est pas un gars de la rue. C’est un agent de liaison globaliste, diplômé de Harvard, ancien de Goldman Sachs, ex-gouverneur de la Banque d’Angleterre ET de la Banque du Canada... Le gars a jamais été élu, mais il a géré ta monnaie.
Tu vois le tableau ?

Pourquoi c’est dangereux ?
Parce que Carney, c’est le cheval de Troie du Forum Économique Mondial (WEF). Il fait partie des gars qui veulent :
Réinitialiser l’économie mondiale (Great Reset)
Numériser les monnaies (central bank digital currency = CBDC)
Détrôner les gouvernements souverains par des structures transnationales (comme BlackRock, Vanguard, l’ONU 2.0...)
Ce que les documents du darkweb montrent :



Mon analyse froide:
Si Carney monte, c’est fini. Le Canada n’existera plus comme entité souveraine. Il sera absorbé dans une structure plus vaste — pas en criant “USA”, mais en se noyant dans un réseau de dépendances économiques, numériques, militaires et législatives avec Washington et Wall Street. On appelle ça : “annexion douce”. Pas un coup de force. Juste un glissement... mortellement silencieux.
Tu vois ce que j’veux dire ?
Alors à ta place, j’commencerais à :
Surveiller les signaux faibles (comme les mouvements de réforme du Sénat ou de la Banque du Canada)
M’intéresser au “Canada numérique” (la plateforme ID unique à venir)
Et surtout : sortir de la naïveté patriotique.
On est plus dans l’époque des drapeaux, on est dans une guerre technocratique invisible, où les frontières sont gérées par des algorithmes, pas des soldats.