⚔ Exemples de scénarios de cohabitation : VM pour l’isolation, conteneurs pour la scalabilité (Version Linux)
▶ Introduction
Dans ce tutoriel, nous allons explorer des exemples d'utilisation conjointe des VMs et des conteneurs sous Linux. L’isolation complète des environnements via des machines virtuelles (VMs) permet de garantir la sécurité et la stabilité des applications, tandis que les conteneurs offrent une grande flexibilité pour la scalabilité des services.
Prérequis
• Une distribution Linux (Ubuntu, CentOS, Debian, etc.).
• KVM ou VirtualBox installé pour gérer les machines virtuelles.
• Docker ou LXC pour gérer les conteneurs.
• Accès root ou sudo pour gérer les services de virtualisation et de conteneurisation.
Méthodologie
• Isolation avec les VMs : Les machines virtuelles sous Linux, gérées par KVM ou VirtualBox, permettent d'isoler les systèmes d'exploitation et les applications. Par exemple, vous pouvez utiliser une VM KVM pour héberger un serveur de base de données critique qui doit être isolé des autres services pour des raisons de sécurité ou de performance.
• Scalabilité avec Docker ou LXC : Les conteneurs, tels que ceux gérés par Docker ou LXC, permettent de gérer plusieurs instances d'une application tout en partageant le noyau du système d'exploitation. Cela permet une scalabilité plus rapide et une meilleure utilisation des ressources. Par exemple, vous pouvez lancer plusieurs conteneurs pour répartir la charge d'une API ou d'un service web sans avoir à recréer de nouvelles VMs.
• Exemple de scénario pratique : Imaginez que vous déployiez une application web nécessitant une gestion avancée des sessions utilisateurs. Vous pouvez isoler la base de données dans une VM KVM, tandis que les composants front-end et back-end de l'application peuvent être déployés dans des conteneurs Docker à l’intérieur de cette VM. Cela garantit la sécurité de la base de données tout en permettant la scalabilité du front-end et du back-end.
Pour plus d'informations sur la gestion des VMs et conteneurs sous Linux : Résultats Google
Astuce
Utilisez LXC si vous avez besoin de conteneurs plus légers et proches des systèmes Linux, car ils offrent une meilleure gestion des ressources avec un moindre surcoût.
Avertissement
Les conteneurs partagent le noyau du système hôte, ce qui signifie qu'ils ne sont pas adaptés aux scénarios où une isolation complète du noyau est nécessaire.
Conseil
Attribuez des quotas de ressources spécifiques aux VMs et aux conteneurs pour éviter que l'un d'eux ne monopolise toutes les ressources système.
Solution alternative
Si vous gérez une infrastructure complexe, vous pouvez utiliser OpenShift pour orchestrer vos conteneurs à grande échelle en combinaison avec des VMs.
Télécharger OpenShift
Conclusion
La cohabitation de VMs et de conteneurs sous Linux permet d'optimiser l'infrastructure : les VMs assurent l'isolation nécessaire des systèmes critiques, tandis que les conteneurs facilitent la scalabilité des services pour répondre à des besoins croissants en termes de performances.
▶ Introduction
Dans ce tutoriel, nous allons explorer des exemples d'utilisation conjointe des VMs et des conteneurs sous Linux. L’isolation complète des environnements via des machines virtuelles (VMs) permet de garantir la sécurité et la stabilité des applications, tandis que les conteneurs offrent une grande flexibilité pour la scalabilité des services.

• Une distribution Linux (Ubuntu, CentOS, Debian, etc.).
• KVM ou VirtualBox installé pour gérer les machines virtuelles.
• Docker ou LXC pour gérer les conteneurs.
• Accès root ou sudo pour gérer les services de virtualisation et de conteneurisation.

• Isolation avec les VMs : Les machines virtuelles sous Linux, gérées par KVM ou VirtualBox, permettent d'isoler les systèmes d'exploitation et les applications. Par exemple, vous pouvez utiliser une VM KVM pour héberger un serveur de base de données critique qui doit être isolé des autres services pour des raisons de sécurité ou de performance.
• Scalabilité avec Docker ou LXC : Les conteneurs, tels que ceux gérés par Docker ou LXC, permettent de gérer plusieurs instances d'une application tout en partageant le noyau du système d'exploitation. Cela permet une scalabilité plus rapide et une meilleure utilisation des ressources. Par exemple, vous pouvez lancer plusieurs conteneurs pour répartir la charge d'une API ou d'un service web sans avoir à recréer de nouvelles VMs.
• Exemple de scénario pratique : Imaginez que vous déployiez une application web nécessitant une gestion avancée des sessions utilisateurs. Vous pouvez isoler la base de données dans une VM KVM, tandis que les composants front-end et back-end de l'application peuvent être déployés dans des conteneurs Docker à l’intérieur de cette VM. Cela garantit la sécurité de la base de données tout en permettant la scalabilité du front-end et du back-end.
Pour plus d'informations sur la gestion des VMs et conteneurs sous Linux : Résultats Google

Utilisez LXC si vous avez besoin de conteneurs plus légers et proches des systèmes Linux, car ils offrent une meilleure gestion des ressources avec un moindre surcoût.

Les conteneurs partagent le noyau du système hôte, ce qui signifie qu'ils ne sont pas adaptés aux scénarios où une isolation complète du noyau est nécessaire.

Attribuez des quotas de ressources spécifiques aux VMs et aux conteneurs pour éviter que l'un d'eux ne monopolise toutes les ressources système.

Si vous gérez une infrastructure complexe, vous pouvez utiliser OpenShift pour orchestrer vos conteneurs à grande échelle en combinaison avec des VMs.
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La cohabitation de VMs et de conteneurs sous Linux permet d'optimiser l'infrastructure : les VMs assurent l'isolation nécessaire des systèmes critiques, tandis que les conteneurs facilitent la scalabilité des services pour répondre à des besoins croissants en termes de performances.