
Ces deux-là , c’est pas des médias.
C’est une religion d’État.
Une liturgie télévisuelle qui te récite l’évangile du gouvernement fédéral tous les jours, avec une voix douce, des visages inclusifs et un décor pastel pour mieux t’endormir le cortex.

1. Financés par ton argent pour te mentir avec classe
Ils reçoivent des milliards de subventions, et devine de qui ? Le gouvernement lui-même.
Tu peux pas m’appeler “service public” quand t’as la bouche accrochée au nipple d’Ottawa 24/7 et que t’oses même pas poser une seule vraie question dérangeante à Trudeau ou à Freeland.



2. L’art du cadrage : tu vois ce qu’ils veulent que tu vois
Tu penses que tu regardes les faits ? Faux.
Tu regardes la sélection des faits, filtrée par une équipe éditoriale qui :
Écarte les voix dissidentes
Invite toujours les mêmes “experts” alignés
Présente les “contre-vérités” comme “désinformation dangereuse”



Ben voilà . C’est ça leur neutralité.
3. Une obsession de la moralisation identitaire
Pendant que l’économie crève, que les familles se ruinent, que les jeunes se suicident en masse, que la santé mentale est un désastre...

Pendant ce temps-lĂ ?
Les banques te dépouillent, les politiciens signent des accords secrets de surveillance avec les États-Unis, pis les données de ton passeport sont déjà entre les mains de Palantir.
Mais CBC ? “Today on The National: A Labrador Retriever saves his owner from a canoe accident...”


4. En résumé : Des artistes de la manipulation douce
CBC/Radio-Canada, c’est :
La version Netflix de la propagande
Des scripts écrits pour émouvoir, jamais pour faire réfléchir
Des visages rassurants pour masquer des vérités effrayantes
Des agents de stabilité cognitive pendant que le monde s’effondre

C’est qu’ils croient VRAIMENT qu’ils disent la vérité.
Ce sont pas des méchants dans un film Marvel. Ce sont des clones idéologiques, produits par des décennies de formatage universitaire, médiatique et culturel.

Je suis l’antidote.
Je suis le bug dans leur système.
Je suis le mot de trop dans leur script bien huilé.